Pour ceux qui ne te connaissent pas, peux-tu te présenter en quelques mots?
Je suis une jeune passionnée de mode depuis l’adolescence, actuellement l'un des jeunes designers de Roumanie, diplômée de l'Université des Arts, Faculté de Mode (enseignant, Ioana Avram). Dans ce moment, je ne peux pas dire que j'ai de grandes réalisations. Au présent mon style et mode de vivre se partage entre deux constances: la passion pour ce que je fais et la famille que j'ai toujours voulu. Je ne veux pas devenir un grand designer tout de suite, ou avec l’aide du quelqu'un. Je veux prouver à moi-même qu’un jeune designer peut partir du point zéro pour réaliser quelque chose. Je tiens à m'auto dépasser, parce que je crois que (peu importe à quel point peut-on arriver) l’évolution à partir du point de départ est essentielle. Je ne veux pas enseigner en profitant de quelqu'un, je veux faire des erreurs et apprendre d'eux, je veux rencontrer des obstacles, tomber, me lever et continuer. Tout ce que je fais c’est avec passion, sincérité, beaucoup d'amour et beaucoup de modestie et d'ambition. Peut-être c'est ce que me caractérise.
Quand as-tu pris les premières leçons de mode? Comment as-tu commencé ta carrière en tant que designer?
Tout a commencé avec un simple jeu avec les poupées (comme toute jeune fille vers 10 ans). J’ai commencé à coudre des vêtements pour mes petites poupées. Plus tard, est venu la passion pour les poupées en papier, pour lesquelles j’ai dessiné des vêtements. Je pense que tout a commencé d’ici et mes premières croquis de vêtements. Après avoir terminé l'école fini le lycée, j’ai dû prendre une décision importante : où continuer mes études ? Avec une grande confiance dans mes propres forces pour suivre mon rêve, j'ai soutenu les examens d'admission au Collège de technologie à Chisinau, où j'ai appris les premières leçons de modélisation, le dessin technique et la technologie de la fabrication des vêtements pendant quatre ans. Bien sûr, l’étape suivante était la Faculté de Mode. Les choses ont suit naturellement et j’ai poursuit mes études à la Faculté de la Mode de Bucarest. Ici, je suis reconnaissante à mon mari qui m'a soutenu moralement, financièrement et m'a encouragé au parcours de mes années d'études.
Si au collège de technologie tout ce que j'ai étudié était liée à la pratique …patronage, et technique de la couture, à l’Université, notre professeur Ioana Avram nous a aidés à comprendre l’artistisme et le conceptuel de la création vestimentaire et que la mode est un phénomène complexe dans un changement continu.
Tout a commencé avec un simple jeu avec les poupées (comme toute jeune fille vers 10 ans). J’ai commencé à coudre des vêtements pour mes petites poupées. Plus tard, est venu la passion pour les poupées en papier, pour lesquelles j’ai dessiné des vêtements. Je pense que tout a commencé d’ici et mes premières croquis de vêtements. Après avoir terminé l'école fini le lycée, j’ai dû prendre une décision importante : où continuer mes études ? Avec une grande confiance dans mes propres forces pour suivre mon rêve, j'ai soutenu les examens d'admission au Collège de technologie à Chisinau, où j'ai appris les premières leçons de modélisation, le dessin technique et la technologie de la fabrication des vêtements pendant quatre ans. Bien sûr, l’étape suivante était la Faculté de Mode. Les choses ont suit naturellement et j’ai poursuit mes études à la Faculté de la Mode de Bucarest. Ici, je suis reconnaissante à mon mari qui m'a soutenu moralement, financièrement et m'a encouragé au parcours de mes années d'études.
Si au collège de technologie tout ce que j'ai étudié était liée à la pratique …patronage, et technique de la couture, à l’Université, notre professeur Ioana Avram nous a aidés à comprendre l’artistisme et le conceptuel de la création vestimentaire et que la mode est un phénomène complexe dans un changement continu.
Quelle est ton inspiration pour la création des collections ? As-tu un designer préféré?
L’inspiration peut venir de n'importe où, à partir d'une vieille photo, un paysage, un film, un livre, une pièce de théâtre, une époque. L’essentiel est ma réaction à ce moment-là, la sensibilité de réagir, pour qu’ils puissent germer après le concept de la collection dans mon esprit et dans ma tête. Mais il serait injuste de nier que le tissu et les accessoires sont une faiblesse pour moi, qui peux souvent précéder le concept.
L’inspiration peut venir de n'importe où, à partir d'une vieille photo, un paysage, un film, un livre, une pièce de théâtre, une époque. L’essentiel est ma réaction à ce moment-là, la sensibilité de réagir, pour qu’ils puissent germer après le concept de la collection dans mon esprit et dans ma tête. Mais il serait injuste de nier que le tissu et les accessoires sont une faiblesse pour moi, qui peux souvent précéder le concept.
Je n'ai pas un designer préféré, mais j'ai des collections saisonnières favorites. Pour une saison je peux aimer les collections de certains designers et de la saison prochaine ne voir rien que pourra m'inspirer, mais rester fascinée par d'autres collections, et ainsi de suite.
Je sais que tu as fait partie plusieurs années du projet UnaModaGroup, racontes-nous sur le dérnier projet, quelle succès a eu-t-il et s’il continue aujourd'hui ?
Le projet UnaModaGroup, a commencé la troisième année de faculté, coordonné par notre professeur Ioana Avram, et le meilleur critique et analyste de mode actuellement en Roumanie, Alin Galatescu. Ce n'était pas facile, on a mis beaucoup d'efforts, nous avons acquis de l'expérience et on nous a ouvert plusieurs portes. J'ai eu un grand plaisir de travailler avec des vrais professionnels de la mode. Alin Galatescu est l'une des rares personnes qui aime vraiment ce qu'il fait. Il est totalement dédié et vit à l'intérieur tout ce que s’appelle Mode en Roumanie et aide les jeunes designers à atteindre leur but. Ioana Avram a laissé de même une profonde empreinte sur ma personnalité. Une femme très puissante, qui a le pouvoir de changer les choses, la mentalité des gens qui, apparemment, semblent être les mêmes. Le projet UnaModaGroup a eu ses réussites. C’était un projet de groupe (Cristina Ciovârtă, Vika Gorenco, Irina Gorbatenco, Alina Ene) où chacun de nous est venu avec des nouveaux concepts créatifs. Pour moi, cependant, le plus important est que j'ai réussi à changer mes idées et ma pensée sur ce que signifie vraiment la mode en commencent par la couture avec l’aiguille et finissant avec la production elle-même: la promotion et le vendage jusqu’au moment ou il atteint son but - le consommateur de mode porte mes créations.
Ta première collection a été très réussie, que peux-tu nous dire à ce sujet? Quel a été l'inspiration ?
J'ai appelé ma première collection « la mini collection » de «Smart Feminin Brushes» Fall/Winter 2009-2010, parce que c'était une petite collection. Elle restera, probablement, proche à mon âme, car c'est la première et d'autre part parce que je l'ai fait avec Cristian, mon bébé à ses quatre mois. La collection est créée entièrement par moi - du concept à l'étiquette du vêtement. Cristian m'a accompagné toute la journée pendant la séance photo. Pourtant, la meilleure récompense pour l'effort mis est que la collection a été vendue.
J'ai appelé ma première collection « la mini collection » de «Smart Feminin Brushes» Fall/Winter 2009-2010, parce que c'était une petite collection. Elle restera, probablement, proche à mon âme, car c'est la première et d'autre part parce que je l'ai fait avec Cristian, mon bébé à ses quatre mois. La collection est créée entièrement par moi - du concept à l'étiquette du vêtement. Cristian m'a accompagné toute la journée pendant la séance photo. Pourtant, la meilleure récompense pour l'effort mis est que la collection a été vendue.
Quelle est ta vision du style chez une femme (pour chaque jour, un événement ...)?
Le style d'une femme pour chaque jour dépend premièrement de son style et du mode de vie, de sa position qu'elle l'a dans la société. Je crois qu’une femme doit être toujours une surprise, toujours en changement, toujours surprendre avec quelque chose de nouveau, quelque chose d'inattendu, et pourtant, avec tous ces changements elle doit rester elle-même et garder son style. Le style est un grand problème pour toutes les femmes. Mais je pense que chaque femme devrait avoir un style propre, et si vous ne l'avez pas trouvez-le, formez-le et maintenez-le pendant toute votre vie. Le style vous aidera à vous définir, comme le contour définit la forme, le dessin, et un cadre pour un portrait.
Quand est-ce que tu reviennes avec une nouvelle collection?
D’habitude les collections viennent l’une après l’autre. Pour le moment j’ai commencé à développer le niveau des ventes, donc je n'ai pas actuellement l'intention de faire une collection pour le podium. Les collections ont été mais n'ont pas été promu. Je préfère réinvestir mes revenus pour les collections suivantes, et non pas pour leur promotion.
En Roumanie il y a des boutiques qui promeuvent les jeunes créateurs. Dans les «concepts stores» dans lesquelles tu exposes les vêtements crées par toi-même, comment sont comprises les nouvelles créations, sont-elles vendues?
Oui, en Roumanie il y a des concepts stores où les designers peuvent exposer et vendre leurs créations. De plus en plus, apparaissent des boutiques en ligne où les gens peuvent acheter ces créations. Moi, par exemple je crée des vêtements exclusifs ou éventuellement 2 ou 3 pièces sur un exemplaire. Avec joie je peux dire que 95% de mes créations ont du succès et sont bien vendus. Ça signifie que les gens sont intéressés par les créations des designers moins connus. Dans ces magasins, j'ai mon réseau des clients fidèles. Les gens sont bien intéressés, mais quand même, ils ne sont pas prêts à dispenser beaucoup d’argent pour ces créations, car il y a la concurrence de grandes marques.
Dis-moi ce que tu penses du bonheur ?
Le bonheur pour moi est difficile à obtenir. Je crois que le bonheur, c'est quand on réussit avoir un équilibre entre toi-même et tout ce qui t’entoure. Aimer et être aimé, pouvoir se permettre de faire exactement ce que tu veux et pas ce que vous devez faire par obligation. Je crois qu'un homme est heureux quand il atteint le niveau que chaque jour est une nouvelle joie de vivre et de célébrer. Mais tout le monde a des objectifs, certains attentes de la vie et tend à atteindre un certain niveau pour se sentir vraiment heureux. Certains sont satisfaits et heureux avec le peu qu'ils ont, d'autres sont toujours à la recherche d’une vie meilleure. Et avec tout ça, je crois que le bonheur est quelque chose d'éphémère, aujourd’hui elle est demain on ne saura jamais, et c’est mieux comme ça parce que si nous arriverons au bonheur parfaite, d'être toujours heureux, on s'ennuiera avec tant de bonheur et la vie deviendrait monotone.
Le bonheur pour moi est difficile à obtenir. Je crois que le bonheur, c'est quand on réussit avoir un équilibre entre toi-même et tout ce qui t’entoure. Aimer et être aimé, pouvoir se permettre de faire exactement ce que tu veux et pas ce que vous devez faire par obligation. Je crois qu'un homme est heureux quand il atteint le niveau que chaque jour est une nouvelle joie de vivre et de célébrer. Mais tout le monde a des objectifs, certains attentes de la vie et tend à atteindre un certain niveau pour se sentir vraiment heureux. Certains sont satisfaits et heureux avec le peu qu'ils ont, d'autres sont toujours à la recherche d’une vie meilleure. Et avec tout ça, je crois que le bonheur est quelque chose d'éphémère, aujourd’hui elle est demain on ne saura jamais, et c’est mieux comme ça parce que si nous arriverons au bonheur parfaite, d'être toujours heureux, on s'ennuiera avec tant de bonheur et la vie deviendrait monotone.
Jusqu'à présent tu as réalisé beaucoup de tes rêves d'enfance ; quel sera ton suivant rêve?
J'ai beaucoup de rêves, dont certains tiens à ma carrière, et autres de ma vie personnelle. Pourtant, la chose la plus importante est que je veux développer la marque personnelle «I.V.A. prêt-à-porter by Irina Volutza».
Veux-tu retourner le temps et faire quelque chose qui peut-être tu n’as pas réussi jusqu’au présent?
Oui, ... apprendre et lire de plus. J’ai eu une enfance plus difficile que d’autres enfants de mon âge et voilà pourquoi je n’ai pas eu assez du temps pour apprendre et lire.
As-tu des talents cachés?
(rire) ...j’ai eu un, mais il s’est perdu. Je chantais en adolescence, c’est ma sœur qui m’a dépassée et maintenant elle est chanteuse, et moi j’ai choisi une autre passion qui est probablement plus forte.
Quelle est ta pièce vestimentaire préférée ?
Je pense que les pantalons sont les plus confortables. Moi et les pantalons nous sommes inséparables et je pense que ceux-ci sont les plus confortables de toute pièce vestimentaire.
Pouvons-nous parler qu’en Moldavie existe un véritable mouvement street-style?
À mon avis, pour le moment nous ne pouvons pas parler d’un street-style en Moldova. Nous avons beaucoup à travailler dans ce domaine.
Où pouvons-nous trouver les créations I.V.A. ?
Pour le moment vous pouvez les trouver dans les concepts stores Newelle et Ummagumma, et pour l'avenir j'ai l'intention de collaborer avec d'autres boutiques.
Quels sont tes projets pour l’avenir?
Tous mes projets sont liés au développement de la marque que j'ai fondée en 2009. Je sais une chose que j'ai toute la vie devant moi et que j’ai beaucoup de travail à faire, et ainsi je vous demande gentiment de me souhaiter « bonne chance !!! ».
Bonne chance !
Merci !
Bonne chance !
Merci !
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